Roman : Lumière Voilée

Roman : Lumière Voilée

18,00

En stock

(1 avis client)

Roman policier atypique, drôle et intelligent dont l’intrigue mêle Qi Gong, Yi Jing, guerre d’Espagne (1936) et Brigades internationales au fil de 36 chapitres. Le titre Lumière voilée est le nom de l’hexagramme 36.

Un roman de Maïté Suleiman

Éditions Les 3 Colonnes (2021) | 212 pages

En stock

UGS : 9782383264323 Catégorie :

Description

Un mystérieux manuscrit enfoncé dans la gorge d'un cadavre, un trio de vieillards déjantés assoiffés de justice, des gendarmes au bord de la crise de nerfs et un éminent sinologue, décodeur d'oracles et néanmoins fumeur de cannabis, nous entrainent sur les sentiers d'une guerre mémorable.

Logée dans les plis noirs de l'Espagne de 1936, une trahison aboutit soixante-dix ans plus tard à un règlement de comptes en forme de supplice. Raffiné, cruel, insolent, tel apparait aux enquêteurs ce petit meurtre entre camarades, avec sa mise en scène provocatrice et son message sans queue ni tête, truffé d'idéogrammes chinois.

Anciens membres des Brigades internationales, nos tontons flingueurs farceurs, grands amateurs de défis et de charcutailles, réussiront sans doute à échapper aux tribunaux mais ils n'auraient jamais du gouter à ce plat nommé Vengeance. Mangé très froid, il se révélera empoisonné car Némésis se chargera de faire le ménage.

Entre Belleville et Perpignan, Argelès et Pantin, beuveries et mots croisés, la mémoire écorchée et les nerfs à vif déroulent le fil rouge de cette histoire assassine en 36 chapitres agités.

Née à Paris en 1953, de parents républicains espagnols, Maité Suleiman étudie l'histoire de l'art à la Sorbonne et se tourne d'abord vers les métiers du livre. Dans les années 90, elle se reconvertit dans l'audiovisuel et dirige la production de films documentaires avant de prêter sa plume à des cinéastes comme Frédéric Rossif ou Youssef Chahine.

Informations complémentaires

Poids 0,350 kg
Dimensions 15 × 21 cm

1 avis pour Roman : Lumière Voilée

  1. Marie-Aimée D.

    J'ai aimé : le regard critique sur notre société ("Dans une société qui menait à l'abattoir tous les forçats du vouloir faire, l'ennui était chose précieuse"), la poésie ("il aurait voulu marcher en plein ciel"), les jeux de mots (monsieur Tahaud pour évoquer le Tao du taoïsme...) ; d'une manière ludique, on peut apprendre à mieux connaître de l'intérieur la guerre d'Espagne, l'identité catalane, le gi gong et la pensée chinoise ; les sujets sont sérieux, dramatiques mais les expressions employées m'ont souvent fait sourire ; du suspense jusqu'au bout ; cela m'arrive rarement : je vais même le relire !

Ajouter un Avis

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Titre

Aller en haut